Jean-Pierre Bertrand, Le diable, évidemment…
13 mai - 15 juillet 2003

Tout en étant marqué par un indéniable caractère protéiforme, l’œuvre de Jean-Pierre Bertrand apparaît extrêmement serrée, ancrée dans le sensible et fait appel à une forme originale de la pensée.
Le film et la vidéo sont des médiums qui traversent toute sa démarche, des travaux des années 70 — tels que Playing dices ou Face que l’on a pu voir récemment lors d’une soirée au Musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg — jusqu’au récent Passing through qui est projeté au Garage.

Chacune des trois vidéos, Time removing (2003), Passing through (2002) et Darwin (2000), est projetée durant trois semaines, directement dans l’espace du Garage, simultanément en trois points différents.